Andy, un ami de Lille rencontré sur Internet, est venu nous aider pour la pose du placo : il a été apprenti chez un plaqueur pendant quelques mois.
Après avoir pris les mesures et réfléchi à la technique de pose à employer, il a calculé le besoin en semelles, fourrures, plaques, etc … afin d’aller faire nos courses dès que possible.
Nous avions préalablement, et à titre préventif, traité les poutres avec du fongicide et de l’insecticide
Nous n’avions pas de camion le jour de son arrivée, donc il a commencé par poser les suspentes qui recevront les fourrures pour le plafond.
Le lendemain, on a mis toutes les fourrures.
J’ai passé les cables électriques qui doivent passer par le plafond : difficile de déterminer précisement l’endroit où ils doivent redescendre.
On a continué en mettant de la laine de verre : ça pique !
Cela donne une impression de plafond très bas, pourtant nous sommes bien à plus de 2 m 50.
Auparavent il n’y avait pas du tout d’isolation, mis à part la poussière : déjà là on sent la différence au point de vue chauffage.
Et hop, c’est parti pour la pose des plaques « »à la main » » : heureusement on a pris des BA10, c’est un peu moins lourd, bien que…
L’idéal serait d’avoir 3 mains, car ça fatigue les cervicales.
Là je passe un nouveau tuyau (gaine) en inox (7 m) pour la future hotte, ainsi qu’un nouveau fil d’antenne au cas où l’ancien soit abîmé.
On reprend les mesures pour aller chercher le reste du matériel demain.
Avant d’aller dîner, Andy a placé les premières ferrailles pour la contre-cloison des toilettes et du cagibi.