C’est parti pour un grand moment de stress et de jubilation.
J’ai fait venir une architecte qui nous a confirmé que les cloisons n’étaient pas porteuses. C’est vrai que plafond du salon fait une sale gueulle, mais c’est plus lié à sa structure qu’à un défaut de soutien.
Ma soeur Julie et son copain Sylvain sont venus en renfort.
J’ai fait une belle fenêtre : coucou Julie !
On a une belle vue sur le salon, cela promet de donner une grand pièce à vivre.
Julie s’inquiète, mais j’ai mis des étais au cas où.
Là c’est moi : pour une fois je me suis bien protégé car on ne sait jamais comment cela va réagir et un bloc de plâtre sur la tête ou un morceau dans l’œil, ça fait mal.
Et voilà, la première cloison est tombé : c’est un peu flou, mais Sylvain et moi avons le sourire car le stress est retombé.
En un rien de temps on a abattu celle du couloir et hop ! C’est sur que cela change.
Plus besoin d’étais, le plafond ne semble pas se reposer dessus lorsque l’on les desserre un peu : ouf quand même.
Cela fait encore un bon paquet de gravas à trimballer, mais je suis content.
Il reste encore quelques morceau à casser, on verra ça plus tard, car il est largement l’heure d’aller manger.
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