Dans la chambre d’Emilie, nous avons commencé par enlever le lambris, puis on a essayé de décoller le papier peint.
Julie et Sylvain y ont passé une journée entière avec une machine à vapeur, mais nous n’avons pas réussi à obtenir quelque chose de propre : le plâtre part en même temps que les couches de papier et parfois même ne se décolle pas du tout.
Il reste une fine couche de papier de couleur marron : on dirait une sous-couche papier d’une moquette murale, comme celle qu’il y avait dans l’escalier de l’entrée.
On regrette presque de ne pas avoir recoller de la tapisserie directement par dessus les anciennes couches.
Nous allons donc devoir faire un enduit plutôt que de la peinture.
Mon beau-père s’est gentiment proposé pour venir nous aider à transformer cette horreur en chambre pour sa petite fille.